« […] la souveraineté du Pays basque composé des trois
régions espagnoles (Guipuzkoa, Alava et Biscaye), des trois régions
françaises (Labour, Soule, Basse-Navarre) et de la Navarre (déjà
Communauté autonome), ses signataires reconnaissent que
l'organisation joue en ce moment son avenir. « Une question de
vie ou de mort. » La faute au fameux « processus de
paix », des dix mois, de mars à décembre 2006, où elle a
tendu une main à Madrid sans rien obtenir. Pire, durant cette
période. Ses militants ont continué à être poursuivis et
condamnés. » p 10-11.
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